Le topo guide, une mine d’informations pour découvrir le site d’escalade

Venez découvrir toutes les falaises équipées d’Orpierre, Chateauneuf, Ventavon, Savournon,  Sigottier et Buëch nord. Parcourez les voies et grandes voies de tous niveaux dans le très beau calcaire sculpté des Alpes du Sud. Il y en a pour tous les goûts : enchaînement de surplombs et de murs verticaux très techniques ou dévers à grosses strates qui demandent force et continuité, escalade en dalles … Toutes ces falaises bénéficient d’un ensoleillement différent selon leur orientation, ce qui favorise une escalade colorée pour toutes les saisons… Vous pourrez grimper en été comme en hiver ! Pour les européens désirant venir découvrir les sites naturels des Alpes du Sud, ce topo est traduit en anglais et allemand.

Focus sur la sécurité

Comment grimper en toute sécurité ? Que faut-il savoir ? Quels sont les pré-requis pour pouvoir grimper en site naturel d’escalade ? Détenez-vous les compétences minimales ? Certaines réponses à vos questions se trouvent dans ce topo, mais pas toutes !

Il est conseillé de faire évaluer et valider ses compétences, les techniques utilisées, par un grimpeur expert ou un professionnel.

Effectivement, ce topo guide insiste sur l’ensemble des règles de sécurité et des compétences requises pour grimper en site naturel d’escalade. Une classification des falaises d’Orpierre a également été établie en fonction des niveaux de compétences requis.

Les falaises d’escalade d’Orpierre sont aménagées et entretenues par des professionnels dans le cadre d’un Plan d’Évaluation des Risques. Vous grimpez cependant dans un milieu montagne où les risques naturels ne sont pas inexistants. 

La réflexion, l’attention et l’expérience sont fondamentales : n’oubliez pas que vous êtes les acteurs de votre sécurité !

Historique du topo guide

La passion de l’escalade

Petit exercice de mémoire… regard sur l’aventure collective d’un village : ensemble, la passion de l’escalade ! Il y a eu les précurseurs, les aventuriers, ceux qui plantaient des pitons, et s’assuraient avec des cordelettes autour des buis. Ils ont ouvert dans les années 70 plus d’une dizaine de voies à Orpierre… d’en bas ! Un petit clin d’œil complice à ceux qui firent les premières du Quiquillon.

Topo 1986
Topo 1987
Topo 1988
Topo 1989
Topo 1990
Topo 1991
Topo 1995
Topo 1997
Topo 2006
Topo 2013